La trilogie "Twilight", de Stephenie Meyer

Je ne connais pas du tout ces livres, mais aujourd'hui, dans le 20 minutes, j'ai vu cet article qui parlait d'une série de trois livres à propos d'une adolescente amoureuse d'un vampire. D'après ce qu'ils disent, ce serait très bien. Je vais probablement les essayer.

En attendant, voilà l'article du journal que j'ai vu :



Le livre n°1 : FASCINATION



Le résumé:
Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville pluvieuse dans l'état de Washington, pour vivre avec son père. Elle s'attend à ce que sa nouvelle vie soit aussi ennuyeuse que la ville elle-même. Or, au lycée, elle est terriblement intriguée par le comportement d'une étrange fratrie, deux filles et trois garçons. Bella tombe follement amoureuse de l'un d'eux, Edward Cullen. Ce garçon beau comme un dieu et qui lui sauve la vie plusieurs fois a selon les Indiens le sang froid... Une relation sensuelle et dangereuse commence alors entre les deux jeunes gens : quand Isabella admet que Edward est un vampire, il est déjà trop tard.

Livre n°2: TENTATION



Le résumé:
Bella fête ses 18 ans. La soirée d'anniversaire que lui organisent les Cullen tourne mal : une fille se blesse et la vue de son sang provoque des réactions diverses chez les vampires. Trois jours plus tard, Edward lui annonce qu'il ne l'aime plus et que sa famille déménage. Bella ne comprend pas ce brusque retournement et sombre dans la dépression. Elle reprend le dessus peu à peu et s'aperçoit qu'en courant de graves dangers elle peut entendre la voix d'Edward. Elle décide alors de s'exposer régulièrement. Dans ce but, elle restaure de vieilles motos avec Jacob, le fils de Billy. Une amitié amoureuse se noue entre eux. Mais le retour soudain de Victoria et Laurent jette le trouble à Forks. Bella se retrouve traquée. Elle est sauvée in extremis par le clan indien des Protecteurs, qui ne sont autres que des loups-garous, ennemis héréditaires des vampires... Le deuxième tome d'une trilogie qui revisite avec brio le mythe du vampire. Amour et mort s'imbriquent dans une atmosphère mystérieuse et captivante. Stephenie Meyer dit à propos de son premier roman : "J'ai toujours admiré la capacité de certains auteurs à créer un environnement totalement imaginaire et décalé, tout en mettant en scène dedans des personnages si profondément humains qu'ils rendent la situation vraisemblable. J'ai essayé de créer la même impossible réalité dans ce roman".

Livre n°3 : HESITATION



Le résumé :
"Deux futurs, deux âmes soeurs... C'était trop pour une seule personne. Je compris que ce n'était pas Edward et Jacob que j'avais essayé de réconcilier, c'étaient les deux parts de moi-même, la Bella d'Edward et la Bella de Jacob. Malheureusement, elles ne pouvaient coexister et j'avais eu tort de tenter de les y contraindre.
A présent, je ne doute pas de ce que je désire, ni de ce dont j'ai besoin... ni de ce que je veux faire, là, maintenant."
Stephenie Meyer signe le troisième volet de la plus bouleversante tragédie amoureuse depuis Les Hauts de hurlevents.

Merci beaucoup pour la présentation de ces livres, ils ont l'air vraiment super! je vais de ce pas, lancer une recherche pour voir où (en Belgique) je peux les trouver ^^

J'espère que tu les trouveras ! Je me suis acheté le premier avant-hier et je suis déjà à la moitié tellement je le dévore ! (Et c'est un gros pavé, du genre tome 4 ou 5 d'Harry Potter). Je le lis la nuit, vu que la journée je ne suis pas là (je suis une formation qui me prend énormément de temps), et faut vraiment que je me force à éteindre ma lumière, je ne veux pas lâcher le bouquin, mais bon, le matin je dois me lever à 6h30, donc j'essaie d'être sérieuse et de ne pas dépasser minuit. C'est dur ! J'ai souvent envie de continuer encore...

Je le conseille à tout le monde. Bella, l'héroïne, est très attachante. C'est raconté à la première personne, et comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire dans mes commentaires sur les livres "Anita Blake", j'adore quand c'est narré à la première personne. Quant à Edward... disons que quand on lit les descriptions que Bella fait de lui, on regrette que ce ne soit pas un livre d'image pour qu'on puisse se rincer l'oeil aussi. LOL

De mon côté en Belgique, je n'ai pas encore trouvé, j'ai pris des renseignements auprès de mon libraire... mais bon, pas de réponse positive. snif

Et j'ai encore plus envie de les lire avec ce que tu dis.

En attendant j'ai trouvé ce site, il est en français comme ça tout le monde peut en profiter, et première chose qui m'a sauté aux yeux, le mot "film" lol

Je vais aller faire le tour du site pour voir :

http://www.the-meadow.fr/

Pour ce qui est du film, voici les infos qui figurent sur le site:

Fascination va être adapté au cinéma. Les droits ont été achetés par Summit Entertainment. Le tournage débutera en Janvier 2008, et il sera dirigé par Catherine Hardwicke et le script sera réalisé par Melissa Rosenberg. La directrice a visité Forks, mais pour l'instant, il est annoncé que le tournage sera à Vancouver, au Canada.
Vous pouvez apercevoir la page Twilight et Stephenie Meyer sur IMB, site qui regroupe un très grand nombres de fiches sur les acteurs, actrices, films, ect...

Acteurs :

>Kristen Stewart / Bella Swan

YOOHOO !!!

Je ne savais pas qu'ils allaient en faire un film. C'est une très bonne nouvelle ! J'ai hâte de savaoir qui ils ont choisi pour le rôle d'Edward

Merci pour l'info ! je me souviens avoir vu la couverture du tome 1 (avec la pomme) mais je ne savais pas du tout q'il y était question de vampires ! Je vais tâcher de le trouver...

Je l'ai acheté aujourd'hui!

tu vas voir Lauviah, il est génial ce livre, un de mes préféré <3
je l'ai lu super vite et j'ai été très triste de l'avoir fini (heureusement qu'il y avait une suite ^^).

Hier j'en ai lu 100 pages, et ca va, j'aime bien!

Je l'ai presque terminer et j'ai beaucoup aimé malgres quelques passages assez enfantins...

Cette trilogie est géniale (le tome 2 est celui que j'aime le moins, mais il est très bien quand même). J'ai trop hâte que le tome 4 sorte !

J'ai fini le premier hier et j'ai commencé le second tout àl'heure!
Combien de tomes sont prévus?

Je ne suis pas 100% sûre de moi, mais je crois que Stephenie Meyer a prévu 5 tomes. Un par an, alors il va encore falloir patienter avant la sortie du numéro 4 (normalement préve pour la fin de l'année).

Il y a maintenant 10 mois, je suis tombée amoureuse d'un certain Edward Cullen...Rien à dire, cette série de livre est tout simplement géniale !

La couverture de "Breaking Dawn", le 4eme volume qui va sortir le 02 Aout aux Etats-Unis, a enfin été rendue publique :

(cliquez sur la vignette pour la voir en taille réelle)

Ainsi que le début du premier chapitre :

Citation :

1. ENGAGED

NO ONE IS STARING AT YOU, I promised myself. No one is staring at you. No one is staring at you.

But, because I couldn’t lie convincingly even to myself, I had to check.

As I sat waiting for one of the three traffic lights in town to turn green, I peeked to the right — in her minivan, Mrs. Weber had turned her whole torso in my direction. Her eyes bored into mine, and I flinched back, wondering why she didn’t drop her gaze or look ashamed. It was still considered rude to stare at people, wasn’t it? Didn’t that apply to me anymore?

Then I remembered that these windows were so darkly tinted that she probably had no idea if it was even me in here, let alone that I’d caught her looking. I tried to take some comfort in the fact that she wasn’t really staring at me, just the car.

My car. Sigh.

I glanced to the left and groaned. Two pedestrians were frozen on the sidewalk, missing their chance to cross as they stared. Behind them, Mr. Marshall was gawking through the plate glass window of his little souvenir shop. At least he didn’t have his nose pressed up against the glass. Yet.

The light turned green and, in my hurry to escape, I stomped on the gas pedal without thinking — the normal way I would have punched it to get my ancient Chevy truck moving.

Engine snarling like a hunting panther, the car jolted forward so fast that my body slammed into the black leather seat and my stomach flattened against my spine.

”Arg!” I gasped as I fumbled for the brake. Keeping my head, I merely tapped the pedal. The car lurched to an absolute standstill anyway.

I couldn’t bear to look around at the reaction. If there had been any doubt as to who was driving this car before, it was gone now. With the toe of my shoe, I gently nudged the gas pedal down one half millimeter, and the car shot forward again.

I managed to reach my goal, the gas station. If I hadn’t been running on vapors, I wouldn’t have come into town at all. I was going without a lot of things these days, like Pop-Tarts and shoelaces, to avoid spending time in public.

Moving as if I were in a race, I got the hatch open, the cap off, the card scanned, and the nozzle in the tank within seconds. Of course, there was nothing I could do to make the numbers on the gauge pick up the pace. They ticked by sluggishly, almost as if they were doing it just to annoy me.

It wasn’t bright out — a typically drizzly day in Forks, Washington — but I still felt like a spotlight was trained on me, drawing attention to the delicate ring on my left hand. At times like this, sensing the eyes on my back, it felt as if the ring were pulsing like a neon sign: Look at me, look at me.

It was stupid to be so self-conscious, and I knew that. Besides my dad and mom, did it really matter what people were saying about my engagement? About my new car? About my mysterious acceptance into an Ivy League college? About the shiny black credit card that felt red-hot in my back pocket right now?

”Yeah, who cares what they think,” I muttered under my breath.

(c) 2008 by Stephenie Meyer, reprinted with permission from the Eclipse Special Edition published by Little, Brown and Company.

Source: EW.com

J'adore ! Vivement que ça sorte !

Il est magnifique ce livre Fascination , ainsi que la série tout entière!!!
J'en suis tombée amoureuse !!!
Dés que j'ai commencé la lecture , je ne l'ai plus lâcher!! Et je l'ai terminer en 3 heures!!! C'est franchement mon livre préféré!!!
Je l'ai tellement adoré que j'ai meme envisagé de ne plus le rendre a la bibliothèque
C'est un livre que je conseillerais a tous les fans de vampire!!!!

Oui, ce livre rend très facilement accroc ! Tous ceux que je connais qui l'ont lu sont devenus fans presque instantanément. Et dans le lot, il y a des personnes qui ne sont pas des fans de vampires comme nous et qui ont commencé la lecture juste pour me faire plaisir, en se disant que ce bouquin était probablement nul. Et ils ont tous changé d'avis ! Ce livre est absolument génial et on ne le dira jamais assez

Je suis tellement pressée que le 4eme volume sorte... et le film aussi. Vivement !!

Oui moi aussi , le 4eme commence a m'impatienter lol!
J'ai tellement hate!
Mais j'ai un peu peur pour le film.
J'ai peur qu'il me déçoive, qu'il me casse l'image que j'ai de ce roman.
Je ne sais pas trop si je m'exprime bien XD

J'ai bien compris, et c'est pareil pour moi!
Je revis ce que j'ai vécu pour harry potter!

Oups ! Et je m'aperçois que j'ai oublié de poster la fin du chapitre 1.

Voilà donc la suite du chapitre (toujours en anglais):

Citation :

“Um, miss?” a man's voice called.
I tuned, and then wished I hadn't.
Two men stood beside a fancy SUV with brand-new kayaks tied on top. Neither of them was
looking at me; they both were staring at the car.
Personally, I didn't get it. But them, I was just proud I could distinguish between the symbols for
Toyota, Ford and Chevy. This car was glossy black, sleek, and pretty, but it was still just a car to
me.
“I'm sorry to bother you, but could you tell me what kind of car you're driving?” the tall one
asked.
“Um, a Mercedes, right?”
“Yes,” the man said politely while his shorter friend rolled his eyes at my answer. “I know. But I was
wondering, is that... are you driving a Mercedes Guardian?” The man said the name with
reverence. I had a feeling this guy would get along well with Edward, my... my fiancé (there really
was no getting around that truth with the wedding just days away). “They aren't supposed to be
available in Europe yet,” the man went on, “let alone here.”
While his eyes traced the contours of my car – it didn't look much different from any other
Mercedes sedan to me, but what did I know? - I briefly contemplated my issues with words like
fiancé, wedding, husband, etc.
I just couldn't put it together in my head.
On the one hand, I had been raised to cringe at the very thought of poofy white dresses and
bouquets. But more than that, I just couldn't reconcile a staid, respectable, dull concept like
husband with my concept of Edward. It was like casting an archangel as an accountant; I couldn't
visualize him in any commonplace role.
Like always, as soon as I started thinking about Edward I was caught up in a dizzy spin of fantasies.
The stranger had to clear his throat to get my attention; he was still waiting for an answer about
the car's make and model.
“I don't know,” I told him honestly.
“Do you mind if I take a picture with it?”
It took me a second to process that. “Really? You want to take a picture with the car?”
“Sure – nobody is going to believe me if I don't get proof.”
“Um. Okay. Fine.”
I swiftly put away the nozzle and crept into the front seat to hide while the enthusiast dug a huge
professional-looking camera out of his backpack. He and his friend took turns posing by the hood,
and then they went to take pictures at the back end.
“I miss my truck,” I whimpered to myself.
Very, very convenient – too convenient – that my truck would wheeze it's last wheeze just weeks
after Edward and I had agreed to our lopsided compromise, one detail of which was that he'd be
allowed to replace my truck when it passed on. Edward swore it was only to be expected, my
truck had lived a long, full life and then expired of natural causes. According to him. And, of
course, I had no way to verify his story or to try to raise my truck from the dead on my own. My
favorite mechanic – I stopped that thought cold, refusing to let it come to a conclusion. Instead, I
listened to the men's voice outside, muted my the car walls.
“...went at it with a flame thrower in the online video. Didn't even pucker the paint.”
“Of course not. You could roll a tank over this baby. Not much of a market for one over here.
Designed for Middle East diplomats, arms dealers, and drug lords mostly.”
“Think she's something?” the short one asked in a softer voice. I ducked my head.
“Huh,” the tall one said, “Maybe. Can't imagine what you'd need missle-proof glass and four
thousand pounds of body armor for around here. Must be headed somewhere more hazardous.”
Body armor. Four thousand pounds of body armor. And missle-proof glass? Nice. What happened
to good old-fashioned bulletproof?
Well, at least this made some sense – if you had a twisted sense of humor.
It wasn't like I hadn't expected Edward to take advantage of our deal, to weight it on his side so
that he could give so much more than he would receive. I'd agreed that he could replace my truck
when it needed replacing, not expecting that moment to come quite so soon, of course. When I'd
been forced to admit that the truck had become no more than a still-life tribute to classic Chevys
on my curb, I knew his idea of replacement was probably going to embarrass me. Make me focus
of stares and whispers. I'd been right about that part. But even in my darkest imaginings I had not
foreseen that he would get me two cars.
The “before” car. He'd told me it was a loaner and promised that he was returning it after the
wedding. It all had made absolutely no sense to me.
Until now.
Ha ha. Because I was so fragilely human, so accident prone, so much a victim to my own
dangerous bad luck, apparently I needed a tank-resistant car to keep me safe. Hilarious. I was sure
he and his brothers had enjoyed the joke quite a bit behind my back.
Or maybe, just maybe, a small voice whispered in my head, it's not a joke, silly. Maybe he's really
that worried about you. This wouldn't be the first time he's gone a little overboard trying to
protect me.
I sighed.
I hadn't seen the “after” car yet. It was hidden under a sheet in the deepest corner of the Cullns
garage. I knew most people would have peeked by now, but I really didn't want to know.
Probably no body armor on that car – because I wouldn't need it after the honeymoon. Virtual
indestructibility was just one of the many perks I was looking forward to. The best parts about
being a Cullen were not expensive cars and impressive credit cards.
“hey,” the tall man called, cupping his hands to the glass in an effort to peer in, “We're done now.
Thanks a lot!”
“You're welcome,” I called back, and then tensed as I started the engine and eased the pedal – ever
so gently – down. ..
No matter how many times I drove down the familiar road toward home, I still couldn't make the
rain- washed flyers fade into the background. Each one of them, stapled to telephone poles and
taped to street signs, was like a fresh slap in the face. A well-deserved slap in the face.
My mind was sucked back into the thought. I'd interrupted so immediately before. I couldn't
avoid it on this road. Not with pictures of my favorite mechanic flashing past me at regular
intervals.
My best friend. My Jacob.
The HAVE YOU SEEN THIS BOY? Posters were not Jacob's father's idea. It had been my father,
Charlie, who'd printed up the flyers and spread them all over town. And not just Forks, but Port
Angeles and Sequim and Hoquiam and Aberdeen and every other town in the Olympic
Peninsula... He'd made sure that all the police stations in the state of Washington had the same
flyer hanging on the wall, too. His own station had a whole cork board dedicated to finding Jacob.
A cork board that was mostly empty, much to his disappointment and frustration.
My dad was disappointed with more than the lack of response. He was most disappointed with
Billy, Jacob's father – and Charlie's closest friend.
For Billy's not being more involved with the search for his sixteen-year-old “runaway.” For Billy's
refusing to put up the flyers in La Push, the reservation on the coast that was Jacob's home. For his
seeming resigned to Jacob's disappearance, as if there was nothing he could do. For his saying,
“Jacob's grown up now. He'll come home if he wants to.”
And he was frustrated with me for taking Billy's side.
I wouldn't put up posters, either. Because both Billy and I knew where Jacob was, roughly
speaking, and we also knew that no one had seen this boy.
The flyers put the usual big, fat lump in my throat, the usual stinging tears in my eyes, and I was
glad Edward was out hunting this Saturday. If Edward saw my reaction, it would only make him
feel terrible, too.
Of course, there were drawbacks to it being Saturday. As I turned slowly and carefully onto my
street, I could see my dad's police cruiser in the driveway of our home. He'd skipped fishing again
today. Still sulking about the wedding.
So I wouldn't be able to use the phone inside. But I had to call...
I parked on the curb behind the Chevy sculpture and pulled the cell phone Edward had given to
me for emergencies out of of the glove compartment. I dialed, keeping my finger on the “end”
button as the phone rang. Just in case. “Hello?” Seth Clearwater answered, and I sighed in relief. I
was way too chicken to speak to his older sister Leah. The phrase “bite my head off ” was not
entirely a figure of speech when it came to Leah.
“Hey, Seth, It's Bella.”
“Oh hiya, Bella! How are you?”
Choked up. Desperate for reassurance. “Fine.”
“Calling for an update?”
“You're psychic.”
“Not hardly. I'm no Alice – you're just predictable,” he joked. Among the Quileute pack down at
La Push, only Seth was comfortable even mentioning the Cullens by name, let alone joking about
things like my nearly omniscient sister-in-law-to-be.
“I know I am.” I hesitated for a minute. “How is he?”
Seth sighed. “Same as ever. He won't talk, though we know he hears us. He's trying not to think
human, you know. Just going with his instincts.”
“Do you know where he is now?”
“Somewhere in northern Canada. I can't tell you which province. He doesn't pay much attention
to state lines.”
“Any hint that he might...”
“He's not coming home, Bella. Sorry.”
I swallowed. “S'okay, Seth. I knew before I asked. I just can't help wishing.”
“Yeah. We all feel the same way.”
“thanks for putting up with me, Seth. I know the others must give you a hard time.”
“they're not your hugest fans,” he agreed cheerfully. “Kind of lame, I think. Jacob made his choices,
you made yours. Jake doesn't like their attitude about it. 'Course, he isn't super thrilled that
you're checking up on him, either.”
I gasped. “I though he wasn't talking to you?”
“He can't hide everything from us, hard as he's trying.”
So Jacob knew I was worried. I wasn't sure how I felt about that. Well at least he knew I hadn't
skipped off into the sunset and forgotten him completely. He might have imagined me capable of
that.
“I guess I'll see you at the... wedding.” I said, forcing the word through my teeth.
“Yeah, me and my mom will be there. It was cool of you to ask us.”
I smiled at the enthusiasm in his voice. Though inviting the Clearwaters had been Edward's idea, I
was glad he'd thought of it. Having Seth there would be nice – a link, however tenuous, to my
missing best man. “It wouldn't be the same without you.”
“Tell Edward I said hi, 'kay?”
“Sure thing.”
I shook my head. The friendship that had sprung up between Edward and Seth was something that
still boggled my mind. It was proof, though, that things didn't have to be this way. That
werewolves and vampires could get along just fine, thank you very much, if they were of a mind
to.
Not everybody liked this idea.
“Ah,” Seth said, his voice cracking up an octave. “Er, Leah's home.”
“Oh! Bye!”
the phone went dead. I left it on the seat and prepared myself mentally to go inside the house,
where Charlie would be waiting.
My poor dad had so much to deal with right now.
Jacob-the-runaway was just one of the straws on his overburdened back. He was almost as
worried about me, his barely-a-legal-adult daughter who was about to become a Mrs. In just a few
days' time.
I walked slowly through the light rain, remembering the night we'd told him...

et la suite et fin du chapitre :

Citation :

As the sound of Charlie's cruise announced his return, the ring suddenly weighed a hundred
pounds on my finger. I wanted to shove my left hand in a pocket, or maybe sit on it, but Edward's
coo, firm grasp kept it in front and center.
“Stop fidgeting, Bella. Please try to remember that you're not confessing to a murder here.”
!easy for you to say.”
I listened to the ominous sound of my father's boots clomping up the sidewalk. The key rattled in
the already open door. The sound reminded me of that part of the movie when the victim realizes
she's forgotten to lock her deadbolt...
“Calm down, Bella,” Edward whispered, listening to the acceleration of my heart. The door
slammed against the wall, and I flinched like I'd been Tasered.
“Hey, Charlie,” Edward called entirely relaxed.
“No!” I hissed under my breath.
“What?” Edward whispered back.
“Wait till he hangs his gun up!”
Edward chuckled and ran his free hand through his tousled bronze hair.
Charlie came around the corner, still in his uniform, still armed, and tried not to make a face
when he spied us sitting together on the love seat. Lately, he'd been putting forth a lot of effort to
like Edward more. Of course, this revelation was sure to end that effort immediately.
“Hey, kids. What's up?”
“We'd like to talk to you,” Edward said. “We have some good news.”
Charlie's expression went from strained friendliness to black suspicion in a second.
“Good news?” Charlie growled, looking straight at me.
“Have a seat, Dad.”
He raised one Eyebrow, stared at me for five seconds, then stomped to the recliner and sat down
on the very edge, his back ramrod straight.
“Don't get worked up, Dad,” I said after a moment of loaded silence. “Everything's okay.”
Edward grimaced, and I knew it was in objection to the word “okay”. He probably would have
used something more like “wonderful” or “perfect” or “glorious”.
“Sure it is, Bella, sure it is. If everything is so great then why are you sweating bullets?”
“I'm not sweating,” I lied.
I leaned away from his fierce scowl, cringing into Edward, and instinctively wiped the back of my
right hand across my forehead to remove the evidence.
“You're pregnant!” Charlie exploded “You're pregnant, aren't you?”
Though the question was probably meant for me, he´was glaring at Edward now, and I could have
sworn I saw his hand twitch toward the gun.
“No! Of course I'm not!” I wanted to elbow Edward in the ribs, but I knew that move would only
give me a bruise. I'd told Edward that people would immediately jump to this conclusion! What
other possible reason would sane people have for getting married at eighteen? (His answer then
had made me roll my eyes Love. Right.) Charlie's glower lightened a shade. It was usually pretty
clear on my face when I was telling the truth, and he believed me now. “Oh. Sorry.”
“Apology accepted.”
There was a long pause. After a moment I realized everyone was waiting for me to say something.
I looked up at Edward, panic-stricken. There was no way I was going to get the words out. He
smiled at me and then squared his shoulders and turned to my father.
“Charlie, I realize that I've gone about this out of order. Traditionally, I should have asked you first.
I mean no disrespect, but since Bella has already said yes and I don't want to diminish her choice in
this matter, instead of asking you for her hand, I'm asking you for your blessing. We're getting
married, Charlie. I love her more than anything in the world, more than my own life, and – by
some miracle – she loves me that way, too. Will you give us your blessing?”
He sounded so sure, so calm. For just an instant, listening to the absolute confidence in his voice, I
experienced a rare moment of insight. I could see, fleetingly the way the world looked to him. For
the length of one heartbeat, this news made perfect sense.
And then I caught sight of the expression on Charlie's face, his eyes now locked on the ring.
I held my breath while his skin changed colors – fair to red, red to purple, purple to blue, I
started to get up – I'm not sure what I planned to do; maybe use the Heimlich maneuver to make
sure he wasn't choking – but Edward squeezed my hand and murmured “Give him a minute” so
low that only I could hear.
The silence was much longer this time. Then, gradually, shade by shade, Charlie's color returned
to normal. His lips pursed, and his eyebrows furrowed; I recognized his “deep in thought”
expression. He studied the two of us for a long moment, and I felt Edward relax at my side.
“Guess I'm not that surprised,” Charlie grumbled. “Knew I'd have to deal with something like this
soon enough.”
I exhaled.
“You sure about this?” Charlie demanded, glaring at me.
“I'm one hundred percent sure about Edward,” I told him without missing a beat.
“Getting married, though? What's the rush?” He eyed me suspiciously again.
The rush was due to the fact that I was getting closer to nineteen every stinking day, while Edward
stayed frozen in all his seventeen-year-old perfection. Not that this fact associated marriage in my
book, but the wedding was required due to the delicate and tangled compromise Edward and I
had made to get to this point, the brink of any transformation from mortal to immortal.
These weren't things I could explain to Charlie.
“We're going away to Dartmouth together in the fall, Charlie,” Edward reminded him. “I'd like to
do that, well, the right way. It's how I was raised.” He shrugged.
He wasn't exactly exaggerating; they'd been big on old-fashioned morals during World War I.
Charlie's mouth twisted to the side. Looking for an angle ti argue from. But what could he say? I'd
prefer you live in sin first? He was a dad; his hand were tied.
“Knew this was coming,” he muttered to himself, frowning. Then, suddenly, his face went perfectly
smooth and blank.
“Dad?” I asked anxiously. I glanced at Edward, but I couldn't read his face, either, as he watched
Charlie.
“Ha!” Charlie exploded. I jumped in my seat. “ Ha, ha, ha!”
I stared incredulously as Charlie doubled over in laughter, his whole body shook with it.
I looked at Edward for a translation, but Edward had his lips pressed tightly together, like he was
trying to hold back laughter himself.
“Okay, fine,” Charlie choked out. “Get married.” Another roll of laughter shook through him.
“But....”
“But what?” I demanded.
“But you have to tell your mom! I'm not saying one word to Renée! That's all yours!” He bursted
into loud guffaws.
I paused with my hand on the doorknob, smiling. Sure, at the time, his words had terrified me.
The ultimate doom; telling Renée. Early marriage was higher up on her black list than boiling live
puppies.
Who could have foreseen her response? Not me. Certainly not Charlie. Maybe Alice, but I hadn't
thought to ask her.
“Well; Bella,” Renée had said after I'd choked and stuttered out the impossible words: Mom, I'm
marrying Edward. “I'm a little miffed that you waited so long to tell me. Plane tickets only get
more expensive. Ooohh.,” she'd fretted, “Do you think Phil's cast will be off by then? It will spoil
the pictures if he's not in a tux - “
“Back up a second, Mom.” I'd gasped. “What do you mean, waited so long? I just got en-en...” - I'd
been unable to force out the word engaged - “things settled, you know, today.”
“Today? Really? That is a surprise. I assumed...-
“What did you assume? When did you assume?”
“Well, when you came to visit me in April, it looked like things were pretty much sewn up, if you
know what I mean. You're not very hard to read, sweetie. But I didn't say anything because I knew
it wouldn't do any good. You're exactly like Charlie.” She'd sighed, resigned. “Once you make up
your mind, there is no reasoning with you. Of course, exactly like Charlie, you stick by your
decisions, too.”
“You're not making my mistakes, Bella. You sound like you're scared silly, and I'm guessing it's
because you're afraid of me.” She'd giggled. “Of what I'm going to think. And I know I've said a lot
of things about marriage and stupidity – and I'm not taking them back – but you need to realize
that those things specifically applied to me. You're a complete different person than I am. You make
your own kind of mistakes, and I'm sure you'll have your share of regrets in life. But commitment
was never your problem, sweetie. You have a better chance of making this work than most fortyyear-
olds I know.” Renée had laughed again. “My little middle-aged child. Luckily, you seem to
have found another old soul-
“You're not... mad? You don#t think I'm making a humongous mistake?”
“Well, sure I wish you'd wait a few more years. I mean, do I look old enough to be a mother-inlaw
to you? Don't answer that. But this isn't about me. This is about you. Are you happy?”
“I don't know. I'm having an out-of-body experience right now.”
Renée had chuckled. “Does he make you happy, Bella?”
“Yes, but -”
“Are you ever going to want anyone else?”
“No, but-”
“But what?”
“But aren't you going to say that I sound exactly like every other infatuated teenager since the
dawn of time?”
“You've never been a teenager, sweetie. You know what's best for you.”
For the last few weeks, Renée had unexpectedly immersed herself in wedding plans. She'd spent
hours every day on the phone with Edward's mother, Esme – no worries about the in-laws getting
along. Renée adored Esme, but then, I doubted anyone could help responding that way to my
lovable almost-mother-in-law.
It let me right off the hook. Edward's family and my family were taking care of the nuptials
together without me having to do or know or think too hard about any of it.
Charlie was furious, of course, but the sweet part was that he wasn't furious at me. Renée was the
traitor. He'd counted on her to play the heavy. What could he do now, when his ultimate threat –
telling Mom – had turned out to be utterly empty? He had nothing, and he knew it. So he moped
around the house, muttering things about not being able to trust anyone in this world...
“Dad?” I called as I pushed open the front door. “I'm home.”
“Hold on, Bells, stay right there.”
“huh?” I asked, pausing automatically.
“Gimme a second. Ouch, you got me, Alice.”
Alice?
“Sorry, Charlie,” Alice's trilling voice responded, “How's that?”
“I'm bleeding on it.”
“You're fine. Didn't break the skin – trust me.
“What's going on?” I demanded, hesitating in the doorway.
“thirty seconds, please, Bella,” Alice told me. “Your patience will be rewarded.”
“humph,” Charlie added.
I tapped my foot, counting each beat. Before I got to our living room.
“Oh,” I huffed. “Aw. Dad. Don't you look -”
“Silly?” Charlie interrupted.
“I was thinking more like 'debonair'”
Charlie blushed. Alice took his elbow and tugged him around into a slow spin to showcase the pale
gray tux.
“Now cut that out, Alice. I look like an idiot.”
“No one dressed by me ever looks like an idiot.”
“She's right, Dad. You look fabulous! What's the occasion?
Alice rolled her eyes. “It's the final check on the fit. For both of you.”
I peeled my gaze off the unusually elegant Charlie for the first time and saw the dreaded white
garment bag laid carefully across the sofa.
“Aaah.”
“Go to your happy place, Bella. It won't take long.”
I sucked in a deep breath and closed my eyes. Keeping them shut, I stumbled my way up the stairs
to my room. I stripped down to my underwear and held my arms straight out.
“You'd think I was shoving bamboo splitters under your nails,” Alice muttered to herself as she
followed me in.
I paid no attention to her. I was in my happy place.
In my happy place, the whole wedding mess was over and done. Behind me. Already repressed and
forgotten.
We were alone, just Edward and me. The setting was fuzzy and constantly in flux – it morphed
from misty forest to cloud-covered city to arctic night – because Edward was keeping the location
of our honeymoon a secret to surprise me. But I wasn't especially concerned about the where
part.
Edward and I were together, and I'd fulfilled my side of our compromise perfectly. I'd married
him. That was the big one. But I'd also accepted all his outrageous gifts and was registered,
however futilely, to attend Dartmouth College in the fall. Now it was his turn.
Before he turned me into a vampire – his big compromise – he had one other stipulation to make
good on.
Edward had an obsessive sort of concern over the human things that I would be giving up, the
experiences he didn't want me to miss. But there was only one experience I was insisting on. Of
course it would be the one he wished I would forget all about.
Here was the thing, though. I knew what I was going to be like when it was all over. I'd seen
newborn vampires firsthand, and I'd heard all my family-to-be's stories about those wild early
days. For several years, my biggest personality trait was going to be “thirsty”. It would take some
time before I could be me again. And even when I was in control of myself, I would never feel
exactly the way I felt now.
Human... and passionately in love.
I wanted the complete experience before I traded in my warm, breakable, pheromone-riddled
body for something beautiful, string... and unknown. I wanted a real honeymoon with Edward.
And, despite the danger he feared this would put me in, he'd agreed to try.
I was only vaguely aware of Alice and the slip and slide of satin over my skin. I didn't care, for the
moment, that the whole town was talking about me. I didn't think about the spectacle I would
have to star in much to soon. I didn't worry about the tripping on my train or giggling at the
wrong moment or being too young or the staring audience or even the empty seat where my best
friend should be.
I was with Edward in my happy place.

et voilà une traduction extrêmement rapide (et j'ai rien relu), du début du chapitre 1 (qui correspond au premier de mes trois posts concernant ce chapitre), que j'ai faite pour ceux qui ne comprennety pas l'anglais :

Citation :

CHAPITRE 1 : FIANCEE

PERSONNE NE TE REGARDE, je me le promettais. Personne ne te regarde. Personne ne te regarde.

Mais parce que j'étais incapable de mentir de façon convaincante, même à moi-même, je devais vérifier.

Alors que j'étais assise devant l'un des trois feux tricolores que comptait la ville, attendant qu'il devienne vert, je jetai un coup d'oeil à droite - dans son minivan, Mme Weber avait le haut de son corps complètement tourné dans ma direction. Ses yeux étaient plantés dans les miens, et je me reculai, me demandant pourquoi elle ne baissait pas les yeux ou ne paraissait pas honteuse. C'était toujours considéré comme impoli de fixer les gens, non ? Ou est-ce que ça ne s'appliquait plus à moi ?

Puis je me souvins que ces vitres étaient teintées si foncé qu'elle n'avait probablement aucune idée que c'était moi là-dedans, et encore moins que je l'avais surprise en train de me regarder. J'essayais de trouver du réconfort dans le fait qu'elle ne me regardait pas vraiment, elle regardait seulement la voiture.

Ma voiture. Soupir.

Je jetais un oeil à gauche et grognais. Deux piétons étaient figés sur le trottoir, manquant leur chance de traverser pendant qu'ils regardaient. Derrière eux, Mr Marshall me dévisageait bouche bée derrière la vitre de sa petite boutiques de souvenir. Au moins, il n'avait pas son nez pressé contre la vitre. Pas encore.

Le feu passa au vert et, dans ma hâte de m'enfuir, j'appuyai sur l'accélérateur sans réflechir - de la façon normale dont je l'aurais poussée pour faire bouger mon ancienne camionnette.

L'engin feula comme une panthère en chasse, la voiture fit un bond en avant si rapidement que mon corps heurtale cuir noir du siège et mon estomac s'écrasa contre ma colonne vertébrale.

"Arg!" haletai-je tandis que j'appuyais sur le frein. J'ai à peine effleuré la pédale, mais la voiture devint parfaitement immobile.

Je n'avais pas le courage de regarder autour de moi pour voir les réactions. S'il y avait eu le moindre doute quant à la personne qui conduisait, il n'y en avait plus maintenant. Du bout de ma chaussure, j'effleurais gentilment l'accélérateu pour le pousser d'un demi milimètre, et la voiture s'élança de nouveau.

Je parvins à atteindre mon objectif, la station-service. Si je n'étais pas réellement en train de rouler avec les dernière gouttes, je ne serais même pas venue en ville. Je me privais de beaucoup de choses, cer derniers temps, comme des Pop-Tarts (note : j'ignore ce que c'est), ou des chaussures à lacet, pour éviter de passer du temps en public.

Bougeant comme si je faisais une course, j'ai enlevé le bouchon, scanné la carte, et introduit l'embout dans dans le réservoir en quelques secondes (note : désolée, je ne connais pas le vocabulaire des voitures. j'ignore comment s'appellent les choses). Bine sûr, il n'ay avait rien d'autre que je puisse faire pour que les chiffres de la jauge remontent plus vites. Ils augmentaient extrêmement lentement, comme s'ils le faisaient exprès pour m'ennuyer.

Ce n'était pas une journée enseoleillée - le temps brumeux typique d'une journée à Forks, Washington - mais j'avais quand même l'impression qu'un spot de lumière était dirigé sur moi, attirant l'attention sur le délicat anneau à ma main gauche. Dans ces moments-là, quand je sens le regard des gens dans mon dos, j'avais l'impression que l'anneau se mettait à clignoter comme un néon lumineux : Regardez-moi, regardez-moi.

C'était stupide de me sentir comme ça, et je le savais. A part ma mère et mon père, est-ce que ça comptait vraiment ce que les gens disaient de mes fiançailles ? De ma nouvelle voiture ? De mon intégration mystérieuse dans une université de renom ? de la petite carte de crédit noire brillante qui me semblait brulante dans ma poche arrière tout à coup ?

"Ouais. Qui s'intéresse à ce qu'ils pensent ?" je me murmurais tout bas.

Excusez les fautes de grammaire, de conjugaison et de frappe.

Oulah c'est quoi ça?
Ca me rend encore plus curieuse , snif!!
Tu me met encore plus au supplice lol!!!

La suite de ma traduction du chapitre 1, qui correspond à la seconde partie que j'ai postée en anglais.

Citation :

"Euh, mademoiselle ?", appela une voix d'homme.

Je me retournais et le regrettais.

Deux hommes se tenaient à côté d'une magnifique SUV, avec des kayaks tout neufs accrochés au toit. Aucun des deux ne me regardaient. Ils fixaient la voiture.

Personnellement, je ne comprends pas. Moi, j'étais juste fière de savoir faire la différence entre les symboles de Toyota, Ford et Chevy. Cette voiture était noire brillante, sportive et jolie, mais pour moi, ça ne restait qu'une voiture.

"Je suis désolé de vous déranger, mais pouvez-vous me dire quel genre de voiture vous conduisez ?" demanda le plus grand.

"Euh... Une Mercedes, c'est ça ?"

"Oui", dit l'homme poliment tandis que son ami plus petit roula les yeux dans ses orbites à ma réponse. "Je sais. Mais je me demandais... Est-ce que c'est une Mercedes Guardian?" L'homme dit ce nom avec émerveillement. J'avais comme l'impression que ce type s'entendrait bien avec Edward, mon... mon fiancé (je ne pouvais plus nier cette vérité vu que le mariage n'était plus que dans quelques jours). "Ils ne sont pas sensés être déjà sortis en Europe", continua le gars, "encore moins ici".

Tandis que ses yeux détaillaient tous les contours de ma voiture - qui ressemblaient beaucoup pour moi à n'importe quelle autre Mercedes Sedan, mais qu'est-ce que j'en sais ? - je réfléchissais briévement à mes problèmes avec des mots tels que fiancé, mariage, époux,etc...

Je ne pouvais simplement pas m'y faire.

D'un côté, j'ai été élevée pour grincer des dents à la moindre pensée de robes blanches et de bouquets de fleurs. Mais plus que ça, je ne pouvais pas concilier un concept aussi nul, ennuyeux et respectable que "mari", avec mon concept d'Edward. C'était comme faire jouer le rôle d'un comptable à un Archange. Je ne pouvais pas l'imaginer dans un rôle aussi banal.

Comme toujours, dès que je me mis à penser à Edward, je me retrouvaus coincée dans un tourbillon de fantasmes. L'étranger dût d'éclaircir la gorge pour attirer mon attention. Il attendait toujours sa réponse quant au frabriquant et au modèle de la voiture.

"Je ne sais pas", lui répondis-je honnêtement.

"Vous permettez que je me prenne en photo avec ?"

ça m'a pris une seconde pour comprendre ça."Vraiment ? Vous voulez prendre une photo avec la voiture ?"

"Bien sûr. Personne ne va me croire si je n'ai pas de preuves."

"Oui, Okay. Allez-y".

Je remis l'embout à essence sur la pompe, et remonta au volant pour me cacher tandis que le type trop enthousiaste sortait de son sac à dos un appareil photo qui paraissait professionnel. Lui et son ami se relayèrent pour poser devant la carosserie, puis ils allèrent prendre des photos de l'autre côté.

"Ma camionnette me manque", me murmurais-je.

ça tombait à pic - un peu trop à pic - que ma camionnette ait poussé ses derniers râles d'agonie quelques semaines à peine après qu'Edward et moi sommes parvenus à un compromis bancal, dont un détail spécifiait qu'il serait autorisé à remplacer ma camionnette lorsqu'elle mourrait. Edward a juré qu'il fallit s'y attendre, que ma camionnette avait vécu une longue vie bien remplie et qu'elle était morte de causes naturelles. D'après lui. Et bien sûr, je n'ai aucun moyen de vérifier son histoire ou d'essayer de la ressusciter moi-même. Mon méchanicien préféré - je stoppais net cette pensée, refusant de la terminer. A la place, j'écoutais la voix de l'homme dehors, un peu assourdie par les parois de la voiture.

"... y sont allées avec un lance-flamme dans la vidéo sur internet ! ça n'a même pas abîmé la peinture."

" Bien sûr que non. Tu pourrais rouler sur ce bébé avec un tank. Y'a pas tellement un marché pour ce genre de voitures par ici. ça a surtout été conçu pour les diplomates du Moyen-Orient, les marchands d'armes, et les grands dealers de drogues."

"Tu crois qu'elle est quelque chose?" le plus petit demanda d'une voix plus basse. je rentrais ma tête dans mon cou.

"Hum", dit le plus grand, "peut-être. Je n'imagine pas pourquoi d'autre t'aurais besoin de verre anti-missiles et de quatre-cent livres d'armures par ici. Elle doit probablement se rendre quelque part de plus dangereux."

Armure. 400 livres d'armures. Et du verre anti-missiles ? Sympa. Qu'est-ce qui est arrivé au simple verre par-balles ?

Au moins, ça commençait à prendre un sens. Si vous avez un sens de l'humour tordu.

ce n'est pas comme si je ne m'attendais pas à ce qu'Edward profite de notre marché, de peser un peu plus de son côté en me donnant beaucoup plus que ce qu'il va recevoir. J'ai accepté qu'il remplace ma camionnette quand elle aurait besoin d'être remplacée, ne m'attendant pas à ce que ce moment arrive si vite, bien sûr.

Quand j'ai été forcée d'admettre que ma camionnette n'était plus rien d'autre qu'un tribu dans mon allée en l'honneur des classiques Chevy, je savais que son idée d'un remplacement allait probablement m'mebarasser. Faire de moi le centre de l'attention et des bavardages; J'avais raison. Mais même dans mes plus sombres rêves, je n'avais pas vu venir qu'il me donnerait deux voitures.

La voiture "avant". Il m'a dit que c'était un emprunt et m'a promis de la rendre après le mariage. ça n'avait absolument aucun sens pour moi.

Jusqu'à maintenant.

Ah Ah. Parce que j'étais si fragilement humaine, si enclin aux accidents, et que je jouais tellement de très dangereuse malchance, j'avais apparemment besoin d'une voiture résistante auxc tanksn pour me garder saine et sauve. Hilarant.

J'étais sûre que lui et ses frères avaient beaucoup ri de cette blague derrière mon dos.

Ou peut-être, juste peut-être, me susurra une voix dans ma tête, que ce n'est pas une blague, idiote. Peut-être qu'il est vraiment inquiet pour toi à ce point-là. Ce ne serait pas la première fois qu'il en fait un peu trop pour me protéger.

Je soupirai.

Je n'avais pas encore vu la voiture "après". Elle était cachée sous une bâche dans le coin le pus sombre du garage des Cullens. Je sais que la plupart des gens auraient regardé depuis le temps, mais je ne voulais vraiment pas savoir. Probablement pas d'armures sur cette voiture - parce que je n'en aurais plus besoin après la lune de miel.

Indestructibilité virtuelle était juste l'un des nombreux avantages auxquels j'aspirais. Les meilleures choses à propos d'être une Cullen n'étaient pas les voitures de luxe ou les impressionnantes cartes de crédit.

"Hey !" appela le grand homme, mettant ses mains devant la vitre pour s'efforcer de voir à l'intérieur. "On a fini, maintenant. Merci beaucoup !"

"De rien", répondis-je, et je me tendis alors que je démarrai l'engin et appuyai sur la pédale - toujours très gentilment...

Peu importe le nombre de fois où j'avais conduit sur cette route familière pour rentrer chez moi, je ne pouvais toujours pas me faire à cette déferlante d'affiches délavées dans le paysage. Chacune, aggraffée à tous les poteaux téléphoniques, et à tous les poteaux de signes de sécurité routière, était comme une gifle pour moi. Une gifle bien méritée. Mon esprit retourna à cette pensée. Je l'avais interrompue si brutalement, plus tôt. Je ne pouvais pas l'ignorer sur cette route. Pas avec des photos de mon mécanicien préféré apparaissant à intervalles réguliers.

Mon meilleur ami. Jacob.

Les paosters "Avez-vous vu ce garçon ?" n'étaient pas une idée du père de Jacob. C'était une idée de mon père, Charlie, qui avait fait imprimé les affaiches et les avait éparpillées partout en ville. Et pas seulement Forks, mais aussi Port Angeles, et Sequim, et Hoquiam, et Aberdeen, et toutes les autres villes de la péninsule Olympique... Il s'est assuré que tous les commissariats dans l'Etat de Washington avait la même affiche sur le mur, aussi. Son propre commissariat avait un pan de mur complet dédié à la recherche de Jacob.

Un pan de mur qui était presque vide, à sa grande déception et frustration. Mon père était déçu par plus que le manque de réponse. Il était déçu par Billy, le père de Jacob, et le meilleur ami de Charlie.

Il était déçu par le fait que Billy ne s'implique pas dans la recherche du "fugueur" de 16 ans. Il était déçu que Billy refuse de placarder des affiches à La Push, la réserve sur la côté où vivait Jacob. Il était déçu par sa résignation à la disparition de Jacob, comme s'il n'y avait rien qu'il puisse faire. Il était déçu par le fait qu'il dise:

"Jacob est grand, maintenant. Il rentrera s'il le souhaite."

Et il était frustré que je prenne partie pour Billy.

Je ne voulais pas placardé les affiches non plus. Parce que, tout comme Billy, je savais où était Jacob, en quelque sorte, et nous savions aussi que personne n'avait vu ce garçon.

Les affiches mirent cette boule habituelle dans ma gorge, et ces larmes brûlantes habituelles dans mes yeux, mais j'étais contente qu'Edward soit parti chasser ce samedi. Si Edward voyait ma réaction, cela le ferait se sentir mal lui aussi.

Bien sûr, il y avait aussi des inconvénients à être samedi. Alors que je tournais lentement et avec prudence dans ma rue, je pouvais voir la voiture de patrouille de mon père dans l'allée de notre maison. Il n'irait pas non plus pêcher aujourd'hui. Il boudait toujours à propos du mariage.

Donc, je ne pourrais pas utiliser le téléphone à l'intérieur. Mais je devais appeler...

Je me garai derrière la Chevy immobile, et sortit de la boite à gants le téléphone portable qu'Edward m'avait offert pour les cas d'urgence. je tapai le numéro, et appuyer sur le bouton d'appel puis attendis que le téléphone sonne.

"Allo ?" répondoit Seth Clearwater, et je soupirai de soulagement. J'étais bien trop poule mouillée pour parer avec sa soeur ainée Leah. La phrase "bouffe-moi la tête" (NOTE : C'est la traduction littérale d'une expression en anglais qui signifie en français "va te faire foutre") n'était pas qu'une figure de style avec leah.

"Salut, Seth. C'est Bella."

"Oh, salut Bella ! Comment tu vas ?"

Etouffée. Désespérée d'être réassurée. "Bien."

"T'appelles pour une mise à jour?"

"T'es devin."

"Pas vraiment. Je ne suis pas Alice - t'es juste prévisible.", plaisanta-t'il. Parmi la meute des Quileutes à La Push, il n'y avait que Seth qui était confortable avec le fait d'appeler les Cullens par leurs noms, et encore plus, il était le seul capable de plaisanter avec ce genre de sujet, comme ma future belle-soeur médium.

"Oui, je sais." J'hésitai un instant. "Comment va-t-il ?"

Seth soupira. "Comme toujours. Il ne veut pas parler, mais on sait qu'il nous entend. Il essaie de ne plus avoir de pensée humaine, tu sais. Il se contente de suivre ses instincts."

"Tu sais où il est maintenant ?"

"Quelque part dans e nord du Canada. Je ne peux pas dire quelle province. Il ne fait pas très attention aux frontières d'etat."

"Un indice comme quoi il pourrait..."

"Il ne rentrera pas, Bella. Désolé."

Je déglutis. "C'est rien, Seth. Je le savais avant de demander. C'est juste que je ne peux pas m'empêcher d'espérer."

"Oui. On ressent la même chose."

'Merci de me supporter, Seth. Je sais que les autres doivent te faire passer de sales moments.

"Ce ne sont pas tes plus grands fans", admit-il joyeusement. " Plutôt pathétique, je pense. Jacob a fait ses propres choix, et tu as fait les tiens. Jake n'apprécie pas leur attitude à ce sujet. Bien sûr, il n'apprécie pas beaucoup non plus que tu prennes de ses nouvelles."

J'haletai. "Je croyais qu'il ne vous parlait pas ?"

"Il ne peut pas tout nous cacher, même s'il essaie."

Alors Jacob savait que j'étais inquiète. Je ne savais pas comment je me sentais à ce propos. Au moins il savait que je ne m'étais pas enfuie dans le soleil couchant en l'oubliant complètement. Il m'en a sûrement crue capable.

"j'imagine que je te verrais au... au mariage", dis-je, forçant les mots hors de ma bouche.

"Ouais. Moi et ma mère, on sera là. C'était cool de ta part de nous inviter."

Je souris à l'enthousiasme dans sa voix. Bien qu'inviter les Clearwater était l'idée d'Edward, j'étais contente qu'il y ait pensé. Avoir Seth présent serait sympa - un lien, même très fin, à mon garçon d'honneur absent. "Ce serait pas pareil sans toi."

"Dis à Edward que je le salue, okay ?"

"Bien sûr."

Je secouai la tête. L'amitié qui s'était créée entre Edward et Seth était quelque chose qui me perturbait toujours. C'était néanmoins une preuve que les choses pouvaient être différentes. Que les vampires et les loup-garous pouvaient s'entendre très bien, s'ils le souhaitaient.

Tout le monde n'appréciait pas cette idée.

"Ah", dit Seth, sa voix descendant d'un octave. "Euh... Leah est rentrée".

"Oh. Aurevoir."

On raccrocha. Je laissai le téléphone sur le siège et je me préparai mentalement à rentrer à l'intérieur de la maison, où Charlie attendait.

Mon pauvre papa devait faire face à tellement de choses en ce moment.

Jacob-le-fugueur n'était qu'une des pierres de son fardeau. Il était presque aussi inquiet à mon propos, sa fille à peine majeure qui est sur le point de devenir une "madame" dans quelques jours à peine.

Je marchais lentement dans les rayons de lumière, me souvenant de la nuit où nous lui avons dit...